Sélectionner une page

Excusés : L Henquet, L Houbotte, P Javaux

Public :

-* 1 journaliste du journal « L’Avenir »
-* 2 représentants Ecolo

En l’absence de madame Javaux , le bourgmestre préside le conseil. Il semble particulièrement pressé de passer l’ordre du jour en revue.

Conseil communal express ce soir : 35 minutes !

En SEANCE PUBLIQUE,

II EQUIPEMENTS
Marché public de fournitures – Parc photocopieurs des écoles communales et de l’Administration communale : cahier spécial des charges, mode de passation, estimation, conditions du marché : approbation.

Le conseiller ECOLO,Etienne Piette, salue le travail de préparation du dossier par monsieur Goblet.

Il propose d’utiliser davantage les mails ce qui génère moins d’impression papier.

Il rappelle que l’ordre du jour des Conseil Communaux pourrait être envoyé par mail, comme cela a été décidé précédemment.

Vote POUR à l’unanimité

Les autres points de l’ordre du jour (Travaux, Asbl communale, et Intercommunales) sont votés à l’unanimité.

Interpellation par les listes EPF et LDB : 

« demande de prime pour la réalisation d’un audit énergétique par les particuliers ».

Le bourgmestre feint l’étonnement face à la démarche…
D’après le conseiller Laurent Despy, c’est la « béatitude générale », un point porté par Philippe Renotte représentant EPF et exposé par Vincent Dethier représentant la LDB pour tendre vers un consensus.

Le conseiller Philippe Renotte est arrivé en retard alors que l’on allait voter le point…Le conseil communal s’est déroulé tellement vite, qu’il s’en est fallu de peu que le conseiller d’EPF n’ait l’occasion de s’exprimer sur sa propre demande…

Philippe Renotte remercie le bourgmestre d’avoir permis à Vincent de s’associer à la demande.

Vote POUR à l’unanimité.

Mascarade ? L’interpellation a été déposée par EPF initialement, et « on » y a annexé le conseiller Vincent Dethier pour représenter la LDB. Dans quel but ?

Une question d’actualité posée par le conseiller Ecolo :

Le conseiller écolo, Etienne Piette, s’interroge sur les missions relatives à l’environnement qui sont attribuées au conseiller en énergie alors que le subventionnement de son traitement ne prévoit, comme son nom l’indique, que des missions relatives à l’environnement ?
Ne risque-t-on pas des problèmes avec l’autorité subsidiante ?

Le bourgmestre répond que le conseiller en énergie ayant manifesté son intérêt pour les missions environnementales, c’ est bien pour son implication personnelle.
Après 2015, la commune devra sans doute prendre en charge son traitement.